La troisième conférence s’est tenue le 1er février 2018 à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Lyon et fut l’occasion de recevoir Gilles Malatray, artiste sonore.
Comment, partant d’explorations sonores in situ, d’arpentages auriculaires de différents lieux, l’enregistrement de séquences sonores constitue-t-il une matière sonore à retravailler a posteriori ? Outil d’analyse, trace, bilan, installation, carte postale sonore podcastée ou objet de diffusion, entre field recording et (re)composition… autant de possibilités, parmi tant d’autres, sont offertes à l’artiste promeneur écoutant. Selon les projets, des formes d’écritures parfois multiples et transmédiales seront ainsi convoquées.