Le motif, qui est la plus petite unité narrative entrant dans la composition d’un conte, est aussi difficile à définir que facile à reconnaître. Il va souvent par grappe. Il y a du narratif, du figuratif, du symbolique, une thématique, une rythmique. L’ogresse dévorante sème l’effroi. Comment ? Ces deux extraits de « Smimi Enda, le petit écouteur de rosée », sont une invitation à réfléchir, à savourer, à rouvrir le dossier tant du motif que de l’ogresse.